REVUE DE LA SEMAINE 4 OCTOBRE.

Pour commencer notre Revue cette semaine, cette décision du gouvernement bahaméen de déporter les survivants de l’ouragan DORIAN vivant en terre bahaméenne.
Une conference de presse a eu lieu à ce sujet au local de FANM, Family Action Movement .
l’ouragan DORIAN de catégorie 5 a détruit des milliers de maisons à Great Abaco et à Grand Bahama.
A moins 53 personnes sont mortes. Il y a toujours 1.300 disparus, probablement, emportés par les eaux. Et 75.000 personnes à avoir été déplacés.

Et voici que le gouvernement bahamen demande aux illégaux haïtiens de se preparer à laisser le pays.
Voici ce qu’écrit Haiti Libre
Mercredi au Parlement, le Premier Ministre des Bahamas, Hubert Minnis s’adressant aux immigrés en situation migratoire irrégulière sur le territoire de l’archipel, majoritairement des haïtiens, a déclaré « Nous sommes un pays de lois et nos règles concernant les immigrants clandestins seront respectées. Cependant, elles seront réalisées de manière humaine […] Par conséquent, tous les immigrants en situation migratoire irrégulière doivent partir de leur plein gré ou ils seront contraints de le faire », soulignant qu’il avait déjà eu des entretiens avec des fonctionnaires de l’Organisation internationale pour les Migrations (OIM) sur cette question.

Le Procureur Général, Carl Bethel, a quant à lui déclaré que les immigrants légaux qui ont perdu leur emploi à la suite de l’ouragan Dorian, doivent retourner dans leur pays, même si leur permis de travail n’est pas encore arrivé à expiration. Il a également rappelé que les demandeurs de permis de travail aux Bahamas devaient la première fois faire leur demande à partir de leur pays d’origine, précisant que les permis de travail ne sont pas transférables d’employeur à employeur.

Notez que l’OIM en 2015 estimait que 18% de la population des Bahamas était composée de migrants vivant sur le territoire en situation migratoire irrégulière, dont 20,000 à 50,000 haïtiens, un nombre qui depuis a considérablement augmenté.

Le Groupe des droits de l’homme des Bahamas a critiqué la décision du Gouvernement concernant les immigrants en situation irrégulière et a qualifié le plan de l’Exécutif de « sauvage, impitoyable et illégal ».

 

 

La CARICOM en colère contre Haïti, qui vient de signer pour donner son accord en faveur d’une intervention militaire au Vénézuéla.
Antigua et Barbuda sont profondément preoccupés par le fait qu’Haïti, état membre de la CARICOM ait vote en faveur de l’ouverture de la porte à l’invasion d’un pays. C’est ce qu’a déclaré le chef de la diplomatie de Antigua et Barbuda.
Tous les pays de la communauté des Caraïbes à l’exception du pays de Jovenel Moïse et de Edmond Boschit rejettent l’idée de toute intervention armée au Vénézuéla.
La Caricom en bloc a réagit en refusant de signer le docunent dénommé TIAR, contrairement a Haïti. Le TIAR EST LE TRAITE INTERAMERICAIN D’ASSISTANCE RECIPROQUE qui envisage le recours à la force armée contre le Vénézuéla.
Donc Haïti a signé OUI. Elle est d’accord avec cet usage de la Force armée contre un pays qui l’a tellement aide.

Pour Haïti cette signature a éte aposée au bas du document le 12 septembre dernier à Washington où Jovenel Moïse avait envoyé Edmond Boschit, son ministre des affaires étrangères.

Jusqu’où le president Jovenel Moïse compte trainer Haïti uniquement pour onserver un pouvoir don’t il est accuse par l’opposition et des millions de compatriotes d’être incapable de gérer ?
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INSECURITE

Marc Sailus, le remplaçant d’Arnel Joseph à Poste Pierrot, tué et décapité par le gang Ti Sourit

La bande armée opérant dans la localité appelée » Barrage » et dirigée par Ti Sourit, a lynché le remplaçant d’Arnel Josep, Marc Sailus, lors d’affrontements dans la journée du mercredi 2 octobre à Poste Pierrot, quatrième section communale de Marchand Dessalines, avons-nous appris à l’agence en ligne KAPZY NEWS.

Selon les premières informations, plusieurs maisons et petites entreprises auraient été incendiées par les membres du gang Barrage après avoir capturé et décapité Marc Sailus.
On rapporte à l’agence que la population, par crainte d’être victime de violence, a fui la localité de Poste-Pierrot en direction des localités avoisinantes.
Est-ce la fin des rUmeurs concernant la disparition de Jovenel Moïse ?
Tout semble l’indiquer , d’après ce que rapportent les agencies de presse.
Photos à l’appui, elles montrent le Président accompagné de son épouse Martine se promenant à travers les rues de Pétion ville. Tous les deux tout de blanc vêtus saluaient la foule se trouvant sur les lieux.
Il y avait aussi un fort contingeant de policiers, CIMO et autres, à accompagner le couple presidential.
Ce qui nous a frappe dans cette dépêche publiée seulement par deux agencies: Vant Bèf Info et Haiti 24, c’est le vocabulaire utilisé. Et l’une et l’autre parlent de la joie du peuple de revoir Jovenel et Martine. Certains se seraient même écriés: Men Jovenel Men Jovenel…
Nous ne faisons pas d’autres commentaires là dessus et nous nous contentons d’attirer votre attention lè dessus.

Le reste de l’actualité :
Deux congresswomen américaines se trouvaient jeudi à Miami, pour aborder la question de la crise haïtienne.
Il ‘agissait de la démocrate Nancy Pelosi, cheffe de la ajorité à l chamber des représentants, et de la représentante Federica Wllson Elles se trouvaient toutes deux au Centre Communautaire Père Gérard Jean Juste pour president cette reunion autour de la crise haïtienne.
Haiti Standard en parle, en précisant que la rencontre a eu lieu deux jours après le tweet du candidat Bernie Sanders :
“ depuis plus d’un an, les Haïtiens manifestent contre la corruption gouvernementale et la cherté de la vie. Alors que les protestations s’intensifient, je m‘inquiète de l’augmention de la violence, l’utilisation de la force contre des manifestants et des journalistes, la violaton des doits de l’homme est inacceptable”.
On ne sait pas ce qui est sorti de cette rencontre Nancy Pelosi /Frederica Wilson concernant la crise haitienne… ni non plus qui avait été invité à y participer.

La RD a convoqué une réunion d’urgence de l'ONU sur la crise en Haïti
une réunion d’urgence du Conseil de sécurité des Nations unies sur la crise en Haïti, secoué depuis plus de deux semaines par une vague de manifestations populaires visant à faire tomber le président haïtien, Jovenel Moïse.
Selon ce qu’a annoncé le ministre des Affaires Étrangères, Miguel Vargas, cette réunion a eu pour but d’analyser la crise en Haïti, a révélé le journal dominicain El Nuevo Diario. La rencontre, s’est tenue jeudi après-midi, et son but était de demander aux acteurs haïtiens de mener un dialogue national pour résoudre la crise.
Le diplomate a déclaré que « toute situation d'instabilité en Haïti est toujours préoccupante », car « cela peut avoir un impact » en République dominicaine.
Pour l’ancien président dominicain Leonel Fernandez, cette situation risque de s’aggraver dans les jours à venir. Il a déclaré que le pays s’est « effondré sur les plans social, économique, écologique et politique » et qu’il pourrait être bientôt conduit à une situation d’ingouvernabilité.

Haïti-Crise : Les écrivains haïtiens lancent un appel au monde et réclament la démission de Jovenel Moïse

 

TRIBUNE. « Choisir entre un peuple et un président » : dans ce texte, Lyonel Trouillot et Kettly Mars (du Pen Club), entre autres, réclament la démission du président Jovenel Moïse.

Il n’y a pas de réconciliation possible entre le peuple haïtien et la présidence de Jovenel Moïse/PHTK
Les signataires : Kettly Mars, Anthony Phelps, Lyonel Trouillot, Evains Wèche, Yanick Lahens, Évelyne Trouillot, Mehdi Chalmers, Gary Victor, Faubert Bolivar, Jocelyne Trouillot-Lévy, Frankétienne, Marie-Andrée Étienne, Guy-Gérald Ménard, Jean-Robert Léonidas, Louis-Philippe Dalembert, James Noël et Joël Des Rosiers.

 

JOVENEL MOISE n’a plus de leegitimitee pour guverner Hauiti, estime le prêtre catholique haitien Joachim Samedi

Vendredi 4 octobre, l’Opposition annonce ne vaste manifestation pour aller devant le building des Nations Unies à Clercine.
Il s’agit de faire comprendre aux Nations Unies, qu’il n’est ps questin pour le peule hauiien d’entre dans aucne forme de négocatons avec le pouvoir en place. On lui demande une seule et unique chose: qu’il donne sa deemission. Rappelons que le CORE GOUP qui regroupe les repreesentants des pays amis d’Hauiti entamer depuis cette semaine une sEerie de rencontre avec l’oppsition haïtienne.
Une première au eu lieu, puis une seconde. Il apparait que le CORE GROUPE arait divisee entre un moyeau dur qui ne veut pas du depart de Jovenel Moïse et reeclame des négociations avec le pouvoir en place ( ce groupe coprend: es etats-Unis le Brésil et l’OEA0 , tandis que l’autre groupe plus soucieux des reclamations du peuple haïtien est beaucoup plus nuance et semble vouloir entendre la voix du peuple. C’est ceci qui empêche la sortie d’une de ces fameuxes note de presse aquelles le CORE GROUPE nous a habitué.
Pas moyen d’obtenir que les membres du CORE Group apposent leur signature au bas d’un document conjoint.
Messieurs et dames du CORE GROUP, il va falloir trouver autre chose !

 

 

C’était notre REVUE des principaux faits de la semaine. …