Alter Press 152 cas de morts folentes, dont 114 victimes par alles d’avril à juin 2020 à Port-au-Prince, relève Jistis ak Lapè. Parmi les 152 cas de morts violentes, 15 personnes sont décédées dans des accidents de la route, 4 autres lors d’incendies, tandis que la cause de 4 autres cas de décès reste inconnue, souligne la Ce-Jilap, lors de la présentation de son rapport, le jeudi 10 septembre 2020, à laquelle a assisté l’agence en ligne AlterPresse. Jean Bernard Marcelin, ancien responsable de l’observatoire-responsabilisation de la Ce-Jilap, évoque des difficultés d’avoir des précisions sur certains cas de décès, car les groupes armés font souvent disparaître les cadavres, pour ne laisser aucune trace dans les quartiers populaires. La gangstérisation, une gifle pour la démocratie, selon la Ce-Jilap