Le Conseil d’Administration du Festival International de la Musique au Féminin (FIMF) a fait le point sur l’état d’avancement dudit festival, le lundi 30 avril 2018, lors d’une conférence de presse. C’était aussi l’occasion pour les organisateurs de parler des résidences artistiques et de la formation qu’ils auront à effectuer, ainsi que de la soirée honorifique dédiée aux femmes de carrière du secteur musical haïtien.
Lancé le 8 mars de cette année, cette manifestation culturelle se veut être une plateforme internationale qui valorisera le patrimoine musical féminin, et qui illuminera la région caribéenne sur l’importance des femmes dans l’industrie musicale.
Le Festival International de la Musique au Féminin qui est a sa première édition, concernera toute la caraïbe a déclaré le Vice-président, Nécaire Grégoire, lors de son intervention. Etant optimiste face aux retombées de ce festival pour les femmes du HMI, il se dit espérer que cette initiative leur permettra d’unir leurs forces afin de mettre fin aux comportements sexistes du milieu.
Pour la soirée honorifique qui se tiendra le 25 mai, à l’hôtel Marriott, plusieurs artistes internationaux et d’autres de la diaspora haïtienne, ont déjà confirmé leur présence d’après les confidences du président, Ronald Osias. Parmi les artistes de sexe féminin qui seront présentes : Maria De Barros qui vient d'Afrique, Orlane des Caraïbes, Zachary Larin de Montréal et bien d'autres encore. Selon les responsable du Festival, certaines d’entre elles seront en Haïti, une semaine avant la grande soirée tandis que d’autres arriveront deux semaines à l’ avance.
Par ailleurs les responsables ont indiqué qu’ils entretiennent des discussions continues avec des artistes qui aimeraient se livrer en spectacle à la soirée honorifique. Ils promettent de partager la liste complète des artistes qui auront à performer sous peu.
Notons qu’une dizaine de jeunes filles œuvrant dans la musique haïtienne, ont été sélectionnées pour la réalisation d’une « Résidence Artistique et de Formation ». Cette résidence artistique qui a déjà commencé, prendra fin le 20 mai 2018. Elle se déroule du 4 au 6 mai au local de JF Production.
Laurent Eugène
Infolive Haïti
HPN - Le porte-parole adjoint de la police nationale d’Haïti, l’inspecteur principal Garry Desrosiers, a confirmé ce vendredi que trois individus ont été interpellés dans le cadre de l’enquête sur la disparition du photo-journaliste Vladjimir Legagneur. Il a aussi indiqué que les forces de l’ordre ont sollicité l’expertise du FBI, notamment pour des tests d’ADN sur les ossements retrouvés à Gran ravin afin de les comparer avec des échantillons prélevés sur la brosse à dent du confrère.
Au lendemain de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse durant laquelle les acteurs du secteurs avaient tous réclamé la vérité sur la disparition du photo-journaliste Vladjimir Legagneur, le porte-parole adjoint de la police nationale, Garry Desrosiers, a tenté le vendredi 4 mai, de rassurer quant à la conduite de l’enquête policière.
Selon l’inspecteur principal, pas moins de 3 individus ont déjà été interpellés pour leur implication présumée dans la disparition du confrère, dont on a plus de nouvelles depuis qu’il était parti en reportage à Gran Ravin le 14 mars dernier.
Il s’agit de François Mérisson, présenté comme celui qui devrait l’introduire après du présumé chef de gang Bougoy afin de l’interviewer, de Gaslin Frantz Tamar (26 ans) et de Paul Nazaire (28 ans). Le téléphone portable du journaliste a été retrouvé en possession de l’un d’entre eux, a indiqué Garry Desrosiers.
Les forces de l’ordre recherchent activement une dizaine d’autres individus, dont Bougoy et Anel ainsi connus, dans le cadre de ce dossier, a fait savoir l’officier de police.
Jeudi, le ministre de la communication, Guyler C. Delva, avait confirmé qu’il y avait très peu d’espoir de retrouver le journaliste en vie.
P-au-P., 4 mai 2018 [AlterPresse] --- Le Comité de pilotage n’a pas reçu de lettre formelle de démission de l’ancien premier ministre Evans Paul, également dirigeant du parti Konvansyon Inite Demokratik (Kid), indique à AlterPresse Louis Naud Pierre, secrétaire exécutif des États généraux sectoriels de la nation (Egsn).
Le Comité est au courant d’un texte assimilé à une lettre de démission, ayant circulé sur le réseau Whatsapp, mais « il n’y a pas de démission formelle », déclare Louis Naud Pierre.
Il confie que la question sera évoquée à la plus prochaine réunion du Comité de pilotage, mais n’est pas à l’ordre du jour, car « une démission revêt une forme », d’autant qu’Evans Paul a été nommé par arrêté présidentiel.
« A moins que ce soit un ballon d’essai », et dans ce cas, institutionnellement cela ne peut pas être considéré comme une démission, poursuit le secrétaire exécutif de l’Esgn.
AlterPresse et AlterRadio ont vainement tenté, à plusieurs reprises, d’entrer en contact avec l’ancien premier ministre Evans Paul.
Une certaine mésentente était perceptible, au niveau du Comité de pilotage, entre des membres qui seraient incapables de contrôler leur animosité, selon Louis Naud Pierre.
Suite à des échanges orageux, une éventuelle démission d’Evans Paul a été évoquée, a indiqué une source digne de foi, tout en précisant que tout portait à croire que les problèmes se sont dissipés.
Trois membres du Comité de pilotage avaient auparavant démissionné : l’historien Claude Moïse, l’ancien premier ministre Jacques Édouard Alexis et l’ancien président du Comité de pilotage, Mgr Louis Kébreau.
L’ancienne première ministre Michèle Pierre-Louis, quant à elle, n’a pris part à aucune réunion du Comité de pilotage, depuis l’installation de ce dernier.
Revue de presse Vendredi 11 Mai 2018
Nous commençons la Revue e Presse aujourdhui avec cette dépêche de l’AHP, lAgence Hazïtienne de Presse:
Le Ministère de la Justice appelle les commissaires du gouvernement à « poursuivre les bandits et leurs complices », accusant la plupart des médias de se faire complices des bandits en leur donnant la parole: Salve de reactions.
En effet, dans une lettre portant la signature du nouveau ministre de la Justice et de la sécurité publique, Jean Roudy Aly, qui circule sur les réseaux sociaux, le Ministère de la justice a fait savoir que « la plupart des médias et journalistes s’amusent quasi quotidiennement à recevoir dans les émissions à libre tribune, des bandits notoires, activement recherchés par la police ».
« Qui pis est, ces bandits qui avouent leurs forfaits, tout en terrorisant la population, prennent le malin plaisir de proférer des menaces par voie de presse aux forces de l’ordre », indique le ministre qui croit que « ce faisant ces professionnels de la presse se font consciemment ou insconciemment complices des bandits qui sèment le deuil au sein des familles haïtiennes.
Après avoir informé avoir demandé aux chefs de parquets de sévir contre les bandits et leurs complices , à savoir les medas et les journalistes, le MJSP sollicite la collaboration de tous les journalistes, en évitant, dit-il, de tendre leurs micros à ces individus qui ne cessent de menacer la stabilité même de l’Etat.
Jusqu’à jeudi en fin de journée, les principales associations de directeurs de médias et de journalistes n’avaient pas reçu la lettre que le Ministère de la Justice affirme leur avoir envoyée.
Cette sortie du ministère de la Justice a provoqué une salve de réactions, dans un contexte lourd, marqué par la disparition depuis près de deux mois, du photo-journaliste Vladjimir Legagneur.
Le président de l’Association nationale des médias haïtiens (ANMH), Frantz Duval dit espérer qu’il ne s’agit que d’un excès de language de la part du ministre de la Justice.
Il affirme que l’ANMH n’a appris la position du ministre que par voie de presse et qu’il attend de recevoir officiellement la lettre du ministre pour que son association ait une position officielle.
L’association des médias indépendants d’Haïti (AMIH) promet aussi une réaction officielle. Toutefois, son président Georges Venel Remarais, fait savoir que l’AMIH ne saurait en aucun cas appuyer un media ou un journaliste qui se ferait clairement complice de bandits notoires et clairement identifiés comme tels.
Il estime cependant que le nouveau ministre de la justice est allé vite en besogne, en faisant des amalgames dans sa lettre : Il demande la collaboration des médias et des journalistes, pendant qu’il instruit les commissaires de les poursuivre, sans exposer ses preuves.
Il incrimine « la plupart des médias dans ses dénonciations, pendant qu’il affirme que c’est dans les émissions libre tribune que les journalistes donneraient quasi-quotidiennement la parole aux « bandits »
Alors qu’il n’y a qu’une infime partie des médiqas qui a une émission de ce genre.
M. Remarais appelle le Ministère de la Justice à être direct et à dire clairement son objectif, tout en promettant la collaboration de son organisation dans tout ce qui concerne le respect de la liberté de la presse et d’information et aussi de la déontologie du métier de journaliste.
L’ancien ministre de la communication, Ady Jean Gardy dénonce cette position du ministère de la justice et soutient que les journalistes ne font que leur travail en permettant à la population et aux autorités de prendre connaissance des aveux publics des personnes concernées.
Le président de la fédération de la presse haitienne se dit préoccupé par cette réaction du MJSP qu’il assimile à une sérieuse menace contre la liberté de la presse chèrement acquise.
Il invite toutefois les journalistes à éviter tout risque de complaisance vis-à-vis d’eventuels bandits et à toujours prendre leurs distance des actes répréhensibles.
NOUS POURSUIVONS LA REVUE avec cette info tirée du qotidien Le National et concernant encoe le Ministre de la Justice Jean Roudy Ally. Cette fois, le nouveau ministre se penche sur le fléau de la détentio préventive Prolongée.
Il cite des chiffres : « sur les 4177 prisonniers au sein du Pénitentier National, il y a 2000 en détention preeventive prolongée. Et sur cette quantité, il y en a 1.005 à avoir des problèmes de dossiers. Les audiences, avec ou sans assistance de jury, vont être multipliées dans toutes les juridictions du pays, annonce le ministre. Pour les personnes qui n’ont pas les moyens nécessaires pour payer les services d’un avocat, dans le cadre du programme d’assistance légale du ministère, ce problème sera résolu. La question de détention préventive prolongée, indique le ministre, est un effet non désiré du dysfonctionnement du système. C’est pourquoi le ministre compte adresser la question au niveau de la gouvernance judiciaire afin d’essayer d’apporter les correctives et des éléments de réponses nécessaires.
Concernant les zones de non-droit, le ministre a indiqué que la période de récréation est terminée. La Police, informe-t-il, a reçu les instructions nécessaires afin de pacifier ces zones au plus vite que possible. Une déclaration déjà faite par le directeur général de la Police nationale d’Haïti, Michel-Ange Gédéon, qui, dans un tweet, avait indiqué qu’un processus a été entamé par la PNH pour pacifier ces zones. Pourtant, les gangs armés de ces communautés ne cessent de semer la pagaille au niveau de ces localités, notamment au niveau de la 3e circonscription de Port-au-Prince, depuis plusieurs mois. Lundi dernier, dans un affrontement entre bandits armés à «Gran Ravin», un citoyen, chauffeur de taxi, s’est fait tuer.
Autre information à la une cette semaine, c’est le remplacement de Mme Susan pAGE à la tˆte de la MINUJUSTH.
Ce sont les autorités haïtiennes qui ont demandé son remplacement. Et ‘est Mamadou DIALLO qui est de retour à la tête de la mission .
Susan Page est maintenant conseillère special du secrétaire general de l’ONU sur l’état de droit. On se rappelle que l’américaine Susan Page avait fait des declarations concernant le dossier petro Caribe qi avaient choquee les utorités haïtiennes.
C’est suite à ces declarations que Haïti avait rappelé son représentant à l’ONU. Il s’agit de l’ambassadeur Denis régis . et que les Nations Unies avaient appelé en consultation Madame Susan Page.
Le Premier ministre haïtien avait alors declare de Haïti n’était ni une savane ni un Moulin , mais un pays souverain.
Madame Page n’est donc pas retournée à son poste.
Un coup d’oeil maintenant sur l’hebdomadaire Hauiti e Marche qui consacre sa preière page à Little Haiti: Encore une occasion rate…
On se souvient du premier discours adressé à la Diaspora haïtienne (expatriés) par un certain président élu nommé Aristide, le 7 février 1991, dans lequel il disait : ‘Bientôt nos petites embarcations feront route vers Miami chargées de mangues, de patates et d’ignames’ !
Bien entendu c’est un peu plus complexe que cela mais pas impossible.
Cependant on n’a rien fait. Comme si on attend que les choses se réalisent d’elles-mêmes. Par magie. Même au pays du vaudou qu’il faut un peu d’effort…
Haïti est le seul pays du continent qui n’a pas une seule enseigne sur le marché américain.
Ah oui, la mangue francisque. Mais que l’on voit de oins en moins à l’ouverture de la saison, début mai dans les stores PUBLIX de Dade cunty Nos voisins dominicains faisaient le maxuum pour nous dérober ce qui a été un marché captif pour Haïti pendant au ins deux décennies. C’est la même terre. Peut être y sont ils parvenus !
Il y a eu aussi l’expérience du café Haitian Bleu qui soudain s’imposait dans tous les foyers aéricainsk puis également eurpoéens et japonais et don’t l’arrivage était guetté comme le Père Noël.
C’est le temps où un certain président René Préval se piquait de relancer la production agricole haïtienne. On a mis tout le paquet. Ce sont les associations cféières natives. Directement du producteur au consommateur. Mais aussi à coups de grandes pages publiciairs dans le New York times ou dans Paris Match qui dit ieux !
Mais soudan l’arrivage du Haitian Bleu commence à prendre du retrd. Pui cessera. Entretemps, Préval avait terminé son mandat. Bien entendu, aucun suivi.
Affaire d’Etatz? Non, uniquement du président en exercice. Le propre de la lutte politique est d’effacer tout ce qui a zété fait par son prédecesseur .
Il y a eu aussi un ambassadeur des Etats-Unis en Haïti, brian Dean Curran, don’t le rêve était de faire arriver sur le marché américan les tuercules ( ignames, malangas etc) prouits chez nous, parce que l’étnt sans l’usage d’aucun produit chiique.
Quel succès cela aurait eu avec les magasins et restaurant “Bio
qo semutiplient aujourd’hui partout chez notre grand voisin.
Mais l’entreprise s’est révélée trop difficile même por le représentant du pays le plus puissant du continent.
Et uis, pus récemment un producteur de café bin de chez nous ( le Selecto0 a tenté de lancer cette marque à Miami, via une conférence dégustation au Little Haiti cultural Center. Nous lui souhaitons un sucès mais le café selecto ne se troue toujours pas sur les étagères des grands super marche de Miami. Sans dout impossible de détroner le Bustelo ( cubain).
Que nous manque t-il continue Haïti en Marche ?
D’abord le suivi. Mais pour cela il faut grouper nos moyens parce que c’est trop couteux dans une écnomie haïtienne par trop familiale .
Mais avant tout, il nous faut entreprendre une revolution socio –olitique pour separer l’économie de la politique, ce qui ne va pas de soi étant donné le lien secret qui les unit, bien sûr: la corruption.
Enfin u marketig énergique mais aussi persévérant et sutout une adresse permanets Avoir pignon sr rue dans le monde.
Vous voulez passer vos vacances au Pérou, ou au Mexique, il exise une seule adresse où tut se règle: visa, sites à visiter, transport etc…
Mais ça vous l’avez aussi à Port-au-Prince. Par contre vous voulez investir en Haïti. C’est autre chose. Où est l’antenne du CFI ( Cnseil de facilitation des investissements) haïtien sr la 2 èe Avenue NE à Little Haiti? Miami au omet où ce quartier occpe aujourd’hui une place de coix dans le développement de la métropole floridienne
AUCUNE PRESENCE DU IISTERE DU TOURISME HITIEN. PAS UN RESTAURANT QUI SE RESPETE NI UN MAGASI D’ALIMETS IO. RIEN I N C R O Y A B L E !
Alors que nous bénéficions d’u avantage inespéré: plus qu’une enseige un quartier portant nore nom TI AYITI. N nom charmat. Que dire de plus ?
NONl Bientôt nous viendrons visiter les stores doiicains ou jamazïcains exposant quelques croutes haïtiennes en guise d’oeuvre d’art !
Miami, Haiti en Marche 3 Mai 2018
LE NOUVELLISTE se penche SUR LA QUESTION D’ELECTRICITE avec cet article:
Electricité: des fournisseurs privés saluent la volonté de réforme du gouvernement
Il y a quelques jours, le ministre de l’Économie et des Finances, Jude Alix Patrick Salomon, avait confié au journal que Taïwan avait accordé un prêt d’environ 150 millions de dollars à Haïti. Le prêt devra être disponible prochainement. L’argent sera investi dans le secteur de l’énergie, « l’un des facteurs de production privilégiés.
L’État envisage aussi la construction de centrales électriques, a indiqué le MEF, qui met en avant les travaux de réhabilitation de centrales hydroélectriques. Jude Alix Patrick Salomon a une fois indiqué que la matrice énergique priorise les énergies renouvelables. « Nous allons de plus en plus vers une énergie prépayée », a insisté le grand argentier de la République, conscient que les subventions publiques à l’Ed’H constituent l’une, si ce n’est pas la première source de déficit public depuis un bail. Le choix des microréseaux connectés est priorisé parce que la construction d’un système intégré avec un réseau connectant le pays de bout en bout, très cher, coûterait entre 1,2 et 1,6 milliard de dollars américains, a fait savoir Jude Alix Patrick Salomon.
ET TERMINONS LA REVUE AVEC LE DOSSIER CULTURE:
Le nouveau ministre de la Culture et de la Communication, Guyler C. Delva, a annoncé des activités qu’il compte réaliser au cours de cet été.
C’est Le Nouvelliste qui en parle en précisant que :
Ces activités, selon lui, répondent à la nécessité de revaloriser la culture et l’histoire haïtiennes. Il s’agit entre autres de concert, de concours de danse, d’hommage à des figures de la culture et de réouverture de salles de spectacle. Déplorant le manque d’espaces de loisirs dans le pays, Delva annonce qu’à partir du 27 mai le kiosque Occide Jeanty recevra tous les dimanches des spectacles de danse, des concerts, des projections de films, etc.
Guyler C. Delva trouve inconcevable que le ciné Triomphe soit resté fermé. « Un pays ne peut pas accepter ce gaspillage. Il faut que cette salle fonctionne. Des millions de dollars ont été investis dans sa rénovation. Ces fonds appartiennent au pays », assène-t-il. Sans annoncer de date, le ministre promet que cette salle va bientôt rouvrir ses portes. « Mon cabinet y travaille activement. Cela sera possible avant même le début de l’été. Nous allons travailler avec la banque centrale et les autres entités qui sont concernées afin de trouver un modus operandi pour son fonctionnement et son entretien », a-t-il assuré au cours d’une conférence de presse au ministère de la Communication dont il est également titulaire.
Dans la même veine, le journaliste devenu ministre estime que la construction du tour 2004 au Champ de Mars doit être achevée. « Celle-ci n’appartient pas à un ancien président. On ne peut pas refuser d’achever le chantier parce qu’on a des problèmes avec le président qui avait démarré les travaux. Elle peut devenir un centre d’attraction pour des visiteurs », estime M. Delva.
Plus loin, le ministre a annoncé le projet de son ministère de rendre hommage au maestro Nemours Jean Baptiste, le fondateur du compas. Un buste du musicien sera érigé à la place Sainte-Anne, l’endroit où il a produit son premier concert. « Pour l’occasion, nous allons réaliser un grand concert avec des groupes de compas pour honorer sa mémoire », a-t-il fait savoir, sans donner une date précise. Dans cet esprit d’hommage, il a évoqué la nécessité de placer les effigies et les bustes des artistes ayant marqué la culture haïtienne sur la place des artistes. « Il faut honorer nos écrivains, nos chanteurs, nos peintres, etc. », estime-t-il. Le ministre a en outre annoncé la réalisation d’un festival d’été qui aura lieu dans plusieurs endroits du pays.
Avec le ministère du Tourisme, Guyler C. Delva promet de travailler à la mise en valeur des sites historiques. Dans la foulée, il a annoncé la tenue d’un « grand évènement » le 14 août prochain sur le site du Bois-Caïman. « Nous allons y ériger une statue de Boukman. Ce n’est pas possible qu’il n’y ait aucune représentation sur ce site historique », a fait savoir le ministre.
Au moment de faire ces annonces, le ministre était sur le point de se rendre au Canada. Il va prendre part au sommet des ministres de la Culture des Amériques qui se tiendra à Ottawa du 9 au 11 mai. « Les organisateurs ont beaucoup insisté pour qu’Haïti soit présent parce que nous représentons une grande puissance du point de vue culturel, littéraire et artistique », a-t-il fait savoir.
Revue de presse Vendredi 11 Mai 2018
Nous commençons la Revue e Presse aujourdhui avec cette dépêche de l’AHP, lAgence Hazïtienne de Presse:
Le Ministère de la Justice appelle les commissaires du gouvernement à « poursuivre les bandits et leurs complices », accusant la plupart des médias de se faire complices des bandits en leur donnant la parole: Salve de reactions.
En effet, dans une lettre portant la signature du nouveau ministre de la Justice et de la sécurité publique, Jean Roudy Aly, qui circule sur les réseaux sociaux, le Ministère de la justice a fait savoir que « la plupart des médias et journalistes s’amusent quasi quotidiennement à recevoir dans les émissions à libre tribune, des bandits notoires, activement recherchés par la police ».
« Qui pis est, ces bandits qui avouent leurs forfaits, tout en terrorisant la population, prennent le malin plaisir de proférer des menaces par voie de presse aux forces de l’ordre », indique le ministre qui croit que « ce faisant ces professionnels de la presse se font consciemment ou insconciemment complices des bandits qui sèment le deuil au sein des familles haïtiennes.
Après avoir informé avoir demandé aux chefs de parquets de sévir contre les bandits et leurs complices , à savoir les medas et les journalistes, le MJSP sollicite la collaboration de tous les journalistes, en évitant, dit-il, de tendre leurs micros à ces individus qui ne cessent de menacer la stabilité même de l’Etat.
Jusqu’à jeudi en fin de journée, les principales associations de directeurs de médias et de journalistes n’avaient pas reçu la lettre que le Ministère de la Justice affirme leur avoir envoyée.
Cette sortie du ministère de la Justice a provoqué une salve de réactions, dans un contexte lourd, marqué par la disparition depuis près de deux mois, du photo-journaliste Vladjimir Legagneur.
Le président de l’Association nationale des médias haïtiens (ANMH), Frantz Duval dit espérer qu’il ne s’agit que d’un excès de language de la part du ministre de la Justice.
Il affirme que l’ANMH n’a appris la position du ministre que par voie de presse et qu’il attend de recevoir officiellement la lettre du ministre pour que son association ait une position officielle.
L’association des médias indépendants d’Haïti (AMIH) promet aussi une réaction officielle. Toutefois, son président Georges Venel Remarais, fait savoir que l’AMIH ne saurait en aucun cas appuyer un media ou un journaliste qui se ferait clairement complice de bandits notoires et clairement identifiés comme tels.
Il estime cependant que le nouveau ministre de la justice est allé vite en besogne, en faisant des amalgames dans sa lettre : Il demande la collaboration des médias et des journalistes, pendant qu’il instruit les commissaires de les poursuivre, sans exposer ses preuves.
Il incrimine « la plupart des médias dans ses dénonciations, pendant qu’il affirme que c’est dans les émissions libre tribune que les journalistes donneraient quasi-quotidiennement la parole aux « bandits »
Alors qu’il n’y a qu’une infime partie des médiqas qui a une émission de ce genre.
M. Remarais appelle le Ministère de la Justice à être direct et à dire clairement son objectif, tout en promettant la collaboration de son organisation dans tout ce qui concerne le respect de la liberté de la presse et d’information et aussi de la déontologie du métier de journaliste.
L’ancien ministre de la communication, Ady Jean Gardy dénonce cette position du ministère de la justice et soutient que les journalistes ne font que leur travail en permettant à la population et aux autorités de prendre connaissance des aveux publics des personnes concernées.
Le président de la fédération de la presse haitienne se dit préoccupé par cette réaction du MJSP qu’il assimile à une sérieuse menace contre la liberté de la presse chèrement acquise.
Il invite toutefois les journalistes à éviter tout risque de complaisance vis-à-vis d’eventuels bandits et à toujours prendre leurs distance des actes répréhensibles.
NOUS POURSUIVONS LA REVUE avec cette info tirée du qotidien Le National et concernant encoe le Ministre de la Justice Jean Roudy Ally. Cette fois, le nouveau ministre se penche sur le fléau de la détentio préventive Prolongée.
Il cite des chiffres : « sur les 4177 prisonniers au sein du Pénitentier National, il y a 2000 en détention preeventive prolongée. Et sur cette quantité, il y en a 1.005 à avoir des problèmes de dossiers. Les audiences, avec ou sans assistance de jury, vont être multipliées dans toutes les juridictions du pays, annonce le ministre. Pour les personnes qui n’ont pas les moyens nécessaires pour payer les services d’un avocat, dans le cadre du programme d’assistance légale du ministère, ce problème sera résolu. La question de détention préventive prolongée, indique le ministre, est un effet non désiré du dysfonctionnement du système. C’est pourquoi le ministre compte adresser la question au niveau de la gouvernance judiciaire afin d’essayer d’apporter les correctives et des éléments de réponses nécessaires.
Concernant les zones de non-droit, le ministre a indiqué que la période de récréation est terminée. La Police, informe-t-il, a reçu les instructions nécessaires afin de pacifier ces zones au plus vite que possible. Une déclaration déjà faite par le directeur général de la Police nationale d’Haïti, Michel-Ange Gédéon, qui, dans un tweet, avait indiqué qu’un processus a été entamé par la PNH pour pacifier ces zones. Pourtant, les gangs armés de ces communautés ne cessent de semer la pagaille au niveau de ces localités, notamment au niveau de la 3e circonscription de Port-au-Prince, depuis plusieurs mois. Lundi dernier, dans un affrontement entre bandits armés à «Gran Ravin», un citoyen, chauffeur de taxi, s’est fait tuer.
Autre information à la une cette semaine, c’est le remplacement de Mme Susan pAGE à la tˆte de la MINUJUSTH.
Ce sont les autorités haïtiennes qui ont demandé son remplacement. Et ‘est Mamadou DIALLO qui est de retour à la tête de la mission .
Susan Page est maintenant conseillère special du secrétaire general de l’ONU sur l’état de droit. On se rappelle que l’américaine Susan Page avait fait des declarations concernant le dossier petro Caribe qi avaient choquee les utorités haïtiennes.
C’est suite à ces declarations que Haïti avait rappelé son représentant à l’ONU. Il s’agit de l’ambassadeur Denis régis . et que les Nations Unies avaient appelé en consultation Madame Susan Page.
Le Premier ministre haïtien avait alors declare de Haïti n’était ni une savane ni un Moulin , mais un pays souverain.
Madame Page n’est donc pas retournée à son poste.
Un coup d’oeil maintenant sur l’hebdomadaire Hauiti e Marche qui consacre sa preière page à Little Haiti: Encore une occasion rate…
On se souvient du premier discours adressé à la Diaspora haïtienne (expatriés) par un certain président élu nommé Aristide, le 7 février 1991, dans lequel il disait : ‘Bientôt nos petites embarcations feront route vers Miami chargées de mangues, de patates et d’ignames’ !
Bien entendu c’est un peu plus complexe que cela mais pas impossible.
Cependant on n’a rien fait. Comme si on attend que les choses se réalisent d’elles-mêmes. Par magie. Même au pays du vaudou qu’il faut un peu d’effort…
Haïti est le seul pays du continent qui n’a pas une seule enseigne sur le marché américain.
Ah oui, la mangue francisque. Mais que l’on voit de oins en moins à l’ouverture de la saison, début mai dans les stores PUBLIX de Dade cunty Nos voisins dominicains faisaient le maxuum pour nous dérober ce qui a été un marché captif pour Haïti pendant au ins deux décennies. C’est la même terre. Peut être y sont ils parvenus !
Il y a eu aussi l’expérience du café Haitian Bleu qui soudain s’imposait dans tous les foyers aéricainsk puis également eurpoéens et japonais et don’t l’arrivage était guetté comme le Père Noël.
C’est le temps où un certain président René Préval se piquait de relancer la production agricole haïtienne. On a mis tout le paquet. Ce sont les associations cféières natives. Directement du producteur au consommateur. Mais aussi à coups de grandes pages publiciairs dans le New York times ou dans Paris Match qui dit ieux !
Mais soudan l’arrivage du Haitian Bleu commence à prendre du retrd. Pui cessera. Entretemps, Préval avait terminé son mandat. Bien entendu, aucun suivi.
Affaire d’Etatz? Non, uniquement du président en exercice. Le propre de la lutte politique est d’effacer tout ce qui a zété fait par son prédecesseur .
Il y a eu aussi un ambassadeur des Etats-Unis en Haïti, brian Dean Curran, don’t le rêve était de faire arriver sur le marché américan les tuercules ( ignames, malangas etc) prouits chez nous, parce que l’étnt sans l’usage d’aucun produit chiique.
Quel succès cela aurait eu avec les magasins et restaurant “Bio
qo semutiplient aujourd’hui partout chez notre grand voisin.
Mais l’entreprise s’est révélée trop difficile même por le représentant du pays le plus puissant du continent.
Et uis, pus récemment un producteur de café bin de chez nous ( le Selecto0 a tenté de lancer cette marque à Miami, via une conférence dégustation au Little Haiti cultural Center. Nous lui souhaitons un sucès mais le café selecto ne se troue toujours pas sur les étagères des grands super marche de Miami. Sans dout impossible de détroner le Bustelo ( cubain).
Que nous manque t-il continue Haïti en Marche ?
D’abord le suivi. Mais pour cela il faut grouper nos moyens parce que c’est trop couteux dans une écnomie haïtienne par trop familiale .
Mais avant tout, il nous faut entreprendre une revolution socio –olitique pour separer l’économie de la politique, ce qui ne va pas de soi étant donné le lien secret qui les unit, bien sûr: la corruption.
Enfin u marketig énergique mais aussi persévérant et sutout une adresse permanets Avoir pignon sr rue dans le monde.
Vous voulez passer vos vacances au Pérou, ou au Mexique, il exise une seule adresse où tut se règle: visa, sites à visiter, transport etc…
Mais ça vous l’avez aussi à Port-au-Prince. Par contre vous voulez investir en Haïti. C’est autre chose. Où est l’antenne du CFI ( Cnseil de facilitation des investissements) haïtien sr la 2 èe Avenue NE à Little Haiti? Miami au omet où ce quartier occpe aujourd’hui une place de coix dans le développement de la métropole floridienne
AUCUNE PRESENCE DU IISTERE DU TOURISME HITIEN. PAS UN RESTAURANT QUI SE RESPETE NI UN MAGASI D’ALIMETS IO. RIEN I N C R O Y A B L E !
Alors que nous bénéficions d’u avantage inespéré: plus qu’une enseige un quartier portant nore nom TI AYITI. N nom charmat. Que dire de plus ?
NONl Bientôt nous viendrons visiter les stores doiicains ou jamazïcains exposant quelques croutes haïtiennes en guise d’oeuvre d’art !
Miami, Haiti en Marche 3 Mai 2018
LE NOUVELLISTE se penche SUR LA QUESTION D’ELECTRICITE avec cet article:
Electricité: des fournisseurs privés saluent la volonté de réforme du gouvernement
Il y a quelques jours, le ministre de l’Économie et des Finances, Jude Alix Patrick Salomon, avait confié au journal que Taïwan avait accordé un prêt d’environ 150 millions de dollars à Haïti. Le prêt devra être disponible prochainement. L’argent sera investi dans le secteur de l’énergie, « l’un des facteurs de production privilégiés.
L’État envisage aussi la construction de centrales électriques, a indiqué le MEF, qui met en avant les travaux de réhabilitation de centrales hydroélectriques. Jude Alix Patrick Salomon a une fois indiqué que la matrice énergique priorise les énergies renouvelables. « Nous allons de plus en plus vers une énergie prépayée », a insisté le grand argentier de la République, conscient que les subventions publiques à l’Ed’H constituent l’une, si ce n’est pas la première source de déficit public depuis un bail. Le choix des microréseaux connectés est priorisé parce que la construction d’un système intégré avec un réseau connectant le pays de bout en bout, très cher, coûterait entre 1,2 et 1,6 milliard de dollars américains, a fait savoir Jude Alix Patrick Salomon.
ET TERMINONS LA REVUE AVEC LE DOSSIER CULTURE:
Le nouveau ministre de la Culture et de la Communication, Guyler C. Delva, a annoncé des activités qu’il compte réaliser au cours de cet été.
C’est Le Nouvelliste qui en parle en précisant que :
Ces activités, selon lui, répondent à la nécessité de revaloriser la culture et l’histoire haïtiennes. Il s’agit entre autres de concert, de concours de danse, d’hommage à des figures de la culture et de réouverture de salles de spectacle. Déplorant le manque d’espaces de loisirs dans le pays, Delva annonce qu’à partir du 27 mai le kiosque Occide Jeanty recevra tous les dimanches des spectacles de danse, des concerts, des projections de films, etc.
Guyler C. Delva trouve inconcevable que le ciné Triomphe soit resté fermé. « Un pays ne peut pas accepter ce gaspillage. Il faut que cette salle fonctionne. Des millions de dollars ont été investis dans sa rénovation. Ces fonds appartiennent au pays », assène-t-il. Sans annoncer de date, le ministre promet que cette salle va bientôt rouvrir ses portes. « Mon cabinet y travaille activement. Cela sera possible avant même le début de l’été. Nous allons travailler avec la banque centrale et les autres entités qui sont concernées afin de trouver un modus operandi pour son fonctionnement et son entretien », a-t-il assuré au cours d’une conférence de presse au ministère de la Communication dont il est également titulaire.
Dans la même veine, le journaliste devenu ministre estime que la construction du tour 2004 au Champ de Mars doit être achevée. « Celle-ci n’appartient pas à un ancien président. On ne peut pas refuser d’achever le chantier parce qu’on a des problèmes avec le président qui avait démarré les travaux. Elle peut devenir un centre d’attraction pour des visiteurs », estime M. Delva.
Plus loin, le ministre a annoncé le projet de son ministère de rendre hommage au maestro Nemours Jean Baptiste, le fondateur du compas. Un buste du musicien sera érigé à la place Sainte-Anne, l’endroit où il a produit son premier concert. « Pour l’occasion, nous allons réaliser un grand concert avec des groupes de compas pour honorer sa mémoire », a-t-il fait savoir, sans donner une date précise. Dans cet esprit d’hommage, il a évoqué la nécessité de placer les effigies et les bustes des artistes ayant marqué la culture haïtienne sur la place des artistes. « Il faut honorer nos écrivains, nos chanteurs, nos peintres, etc. », estime-t-il. Le ministre a en outre annoncé la réalisation d’un festival d’été qui aura lieu dans plusieurs endroits du pays.
Avec le ministère du Tourisme, Guyler C. Delva promet de travailler à la mise en valeur des sites historiques. Dans la foulée, il a annoncé la tenue d’un « grand évènement » le 14 août prochain sur le site du Bois-Caïman. « Nous allons y ériger une statue de Boukman. Ce n’est pas possible qu’il n’y ait aucune représentation sur ce site historique », a fait savoir le ministre.
Au moment de faire ces annonces, le ministre était sur le point de se rendre au Canada. Il va prendre part au sommet des ministres de la Culture des Amériques qui se tiendra à Ottawa du 9 au 11 mai. « Les organisateurs ont beaucoup insisté pour qu’Haïti soit présent parce que nous représentons une grande puissance du point de vue culturel, littéraire et artistique », a-t-il fait savoir.
Plus de 256 mille signatures soutiennent la candidature de Lula au Prix Nobel de la Paix
Brasilia, 12 mai, (RHC).- Plus de 256 mille personnes ont signé jusqu'à présent la pétition demandant l'octroi du Prix Nobel de la Paix à l'ex-président brésilien, Luiz Inacio Da Silva Lula, prisonnier politique à Curitiba, une ville du Sud du Brésil.
C'est l'artiste Argentin, Adolfo Pérez Esquivel, Prix Nobel de la Paix en 1980 pour sa défense des droits humains en Argentine qui a lancé la campagne le mois dernier, peu après l'emprisonnement de l'ex-président Lula, accusé sans preuve de corruption passive et de blanchiment d'argent.
La collecte de signatures est conçue comme une manière d'exprimer la solidarité que mérite Lula, en tête des intentions de vote pour les élections présidentielles du mois d'octobre.
Dans une lettre adressée au Comité norvégien du Prix Nobel, Adolfo Pérez Esquivel a souligné le combat contre la faim et la pauvreté livré par le gouvernement Lula de 2003 à 2010.
«Le gouvernement de Lula, souligne Adolfo Pérez Esquivel dans sa lettre, a été une construction démocratique et participative avec des moyens non violents qui a élevé le niveau de vie de la population et donné des espoirs aux secteurs les plus démunis.»
Edité par Francisco Rodríguez Aranega
source: http://www.radiohc.cu/fr/noticias/internacionales/162148-plus-de-256-mille-signatures-soutiennent-la-candidature-de-lula-au-prix-nobel-de-la-paix