Ls écoliers étaient absents de la rentrée des classes du 5 avril à la capitale et ceux qui étaient pésents avaient encore dans les yeux l’horreur vécut. En effet les ékève étaient très peu nombreux sur les divers sites aménagés pour servir décole. D;ailleurs beaucoup de ces sites n’éaient pas terminés. La pluprt des écoliers se sont présentés sans leur nifores. Nous avons cependant interviewés quelques uns d’ente eux qui se sont estimés heureux de revoir leurs camarades mais d’autres au contraie étaient très tristes d’avoir perdu père ère, soeur frère ou un ami très cher.
Par ailleurs malrés les promesses du ministerre de l’éducation nationale plusieurs sites n’ont pas été d´barasés des sinisters. C’est le cas pour celui de Saint-Lois de Gonaau où l’on en est encore à la mediation entre les frères de l’Institution et ceux quioccupent le site de Delmas 31-33.

Le directeur général du ministère de l’éducation nationale, Pierre-Michel Laguerre, s’est refusé à quantifier la fréquentation des classes.
Il rappelle que pour le moment seules des activités psychosociales sont prévues dans les différents établissements de l’ouest. Les travaux académiques ne reprendront que lorsque les écoliers, en état de choc, auront atteint "l’équlibre moyen et psychologique" nécessaire à l’apprentissage.
M. Laguerre en a profité pour annoncer un reformatage des examens d’Etat en conformité avec le temps imparti pour boucler l’année scolaire prolongée jusqu’en août.
La destruction massive des bâtiments scolaires lors du séisme entraînera également une nette diminution du nombre des centres d’examen, précise le directeur général du MENFP.
Selon le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), le tremblement de terre, qui a fait officiellement 230.000 morts, a aussi causé la disparition de 4.000 écoliers, 454 enseignants et la destruction de 4.200 écoles.