Le sénateur Anick François estime que l’arrêté présidentiel nommant les 9 membres du conseil électoral provisoire est nul. A son avis l’exécutif est coupable d’usage de faux en se référant à la correspondance du président de la chambre basse Stevenson Jacques Timoléon dans laquelle il a confirmé seulement deux des trois représentants du parlement à l’institution électorale.