Un article de Jacqueline Charles dans le Miami Herald…

UNE CENTAINE DE CONFERENCIERS SONT AU PROGRAMME. ILS VIENNENT DE PARTOUT ET PRENDRONT LA PAROLE AU HAITI TECH SUMMIT. LE SOMMET SE DEROULE AU ROYAL DECAMERON INDIGO BEACH RESORT & SPA ET A COMMENCE MARDI. IL DURERA DEUX JOURS MARDI ET MERCREDI, LES 6 ET 7 JUIN 2017. 

ENVIRON 450 PARTICIPANTS Y ASSISTANT. 

Qui sont ils? 

Des entrepreneurs, en majorité et le coup d’envoi a été lance donc hier mardi, dans l’espoir d’aider à transformer cette nation marquée par la pauvreté qu’est Haïti en un pays innovant. 

 

Il y a à ce Sommet écrit Jacqueline Charles Christine Souffrant dont la compagnie NTIM est basée à Dubai. 

Les 100 conférenciers qui ont commence à prendre la parole au Haiti Tech Summit représentent Google, Facebook, Uber et Airbnb. Les sujets cou vrent sont les suivants: comment lancer une entreprise, l’importance des smart cities  etc…etc…et autres topics. 

Il faut vous dire qu’il n’est pas resté une seule place à ce Sommet. Sold Out, comme on dit. Toutes les places réservées et longtemps à l’avance. Mardi pour ouvrir le Sommet, il y avait Michèle Pierre-Louis, ex-premier ministre d’Haïti   qui a parlé de l’importance de la technologie de l’éducation. Il y avait aussi le président Jovenel Moïse qi a souhaité la bienvenue aux visiteurs conférenciers et participants  venus au Royal Decameron Indigo Beach Resort & Spa, sur la côte des Arcadins. 

Ben Horowitz de a prononcé une conférence citant les conseils donnés par Toussaint Louverture. “ Pour changer un pays, a t-il dit, vous devez commencer par changer sa culture”. 

 

“ La Culture est ancrée profondément dans vos gênes, dans votre DNA…A DIT HOROWITZ: Horowitz a dit: “Changing culture is how we change Haiti.”

NTIM qui est le fondateur d’un réseau mobile connectant les voyageurs au vendeurs de rue dans des pays en voie de développement  a jugé nécessaire de mentionner que le but derrière ce Somme test de transformer la perception que l’on se fait d’Haïti 

 

Pendant les trois prochaines années, NTIM a pour objectif pour les 13 prochaines années, de lancer Haïti grâce à toutes sortes d’innovations dans le domaine technique que dans celui de l’entrepreneuriat. 

 

“ Nous savons que Haiti est capable de se transformer elle-même a t-elle dit, devenir un sujet d’étude, un case study  pour démontrer ce qui arrive quand vous êtes sous le coup des bonnes influences, vous permettant de vous transformer. 

Cela pose un véritable défi à Haïti. 

 

Quoique Haïti connaisse What’s app, on peut dire que le pays est loin derrière les autres pays de la Caraïbes, c’est ce qu’a montré une récente étude qui indique que ce pays de 11 millions d’habitants est loin derrière ses voisins de la Caraïbe, du point de vue de la technologie.

Par exemple la pénétration des zones rurales par internet représente seulement 15 % compare à Cuba, qi a 32 % de sa population bénéficiant de l’internet . Nous parlons surtout des zones rurales. 

 

Jusqu’à une période relativement récente, Cuba qui a une population pratiquement semblable à Haïti pour son size, qui avait un accès limité à internet, cuba donc a ajouté le Wi-Fi sur l’île entière. 

 

Pendant des années, les efforts pour introduire la technologie à l’intérieur d’Haïti se sont heurté à la culture de la plume et du papier. ( la pen-and-paper culture) 

Par exemple, il y a bien eu cette tentative d’introduire en Haïti une technologie basée sur la téléphonie mobile pour les transferts d’argent a lamentablement échoué en Haïti, alors que pareille tentative a réussi à cent pour cent au Kenya. Ce sont les faiseurs de lois haïtiens qui ont bloqué les efforts d’introduction de la signature électronique en Haïti et ceci en dépit du lobby US et celui des officiels d’autres pays qui ont voulu faire arriver au même niveau qu’eux. 

Mais non, en Haïti, on a tout simplement bloqué la signature électronique, qui elle, est acceptée, pratiquement partout à travers le monde, qu’il s’agisse de pays développé ou en  voie de développement. 

Mais que de se laisser décourager par de tells interdiction l faut résister à ces obstacles a souligné MILDRED LOUIS, elle est une consultante en technologie qui a récemment travaillé avec le géant DIGICEL ET JOUE LE RˆOle de directeur de communication pour le sommet. 

Il faut plutot considérer les opportunités. 

 

“ Dans un market comme celui d’Haïti, a souligné Mildred Louis, nous devons forcer le movement. Beaucoup de gens avaient pensé qu’un el sommet n’était pas possible dans le pays. Et pourtant nous y voilà. Ce sommet est bel et bien devenu une réalité… Et nous voice au milieu de business leaders venant du monde entier, de membres de familles aisées demandant comment pouvons nous nous impliquer…

Il y a un potentiel immense. Nous devons faire des alliances, toutes sortes d’alliances a t-elle aussi déclaré. 

 

Cela nous permettra d’arriver à une industrie technologique…