Comme en Martinique et en Guadeloupe, les cas de chikungunyua connaissent une certaine baisse chez nous. C'est heureux, car on avait l'impression que c'était la population entière qui était atteinte et bon nombre de voyageurs ont préféré renoncer à leurs vacances d'été au pays pour ne pas s'exposer aux piqûres d'Aèdes, le fameux moustique tigre´®e qui a fait tellement de ravage. Il faut espérer que nous aurons yin rapport sur le nombre de cas, et surtout sur le nombre de morts dans le pays, car même si le chikungunya ne tue pas, la virulence de ce virus a coûté la vie à certaines personnes à l'organisme affaiblit. Donc la ministre de la santé Florence Duperval Guillaume annonce que le nombre de cas de chikungunya est actuellement en baisse, au niveau national. Elle en a profité pour parler de l'EBOLA en Afrique et à rappeler qu'un plan a été mis en place pour prévenir l'apparition de cette maladie en Haïti et que celui-ci est en cours de renforcement. Par ailleurs Le ministère de la santé vient d'émettre une note dans laquelle, il indique qu'il se réserve le droit d'interdire à certains partenaires intervenant de façon sporadique de donner des soins dans le pays. Selon Mme Florence Duperval Guillaume, il s'agit d'un avertissement, elle rappelle à tous les partenaires internationaux l'obligation qui leur est faites d'obtenir une autorisation de la direction départementale de la santé pour exercer en Haïti même pour une courte durée ainsi que celle de fournir un rapport de leurs activités à l'issue de leur séjour.