Herve Ladsous a répondu en ces termes aux questions des journalistes sur le sujet : « Ce n’est pas aux Nations Unies de reconnaitre la situation et le statut de telle ou telle personne. Je crois qu’il faut reconnaitre que M. Privert a fait des choses pendant sa mandature mais son statut, c’est aux Haïtiens et d’abord aux parlementaires haïtiens de le fixer. Nous n’avons pas qualité pour nous substituer à cette responsabilité première qui est celle des parlementaires haïtiens et c’est ce que je leur ai dit sans la moindre ambiguïté. Ce que nous attendons d’eux, c’est qu’ils fixent les choses pour éviter une situation que l’on pourrait qualifier de vide relatif. Mais c’est bien à eux qu’il revient de prendre des décisions. »

 

 Le diplomate a terminé son exposé en ces termes : « Un, il y a urgence. Deux, il faut que les acteurs haïtiens prennent leurs responsabilités et que les choses se passent évidemment dans le calme pour permettre un processus et un cycle électoral qui soit démocratique, transparent, inclusif et qu’ainsi les institutions haïtiennes retrouvent leurs fonctionnalités pleines et entières. »

0 0 1 375 2140 HAITI EN MARCHE 17 5 2510 14.0 Normal 0 false false false EN-US JA X-NONE /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Table Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-priority:99; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0in 5.4pt 0in 5.4pt; mso-para-margin:0in; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:12.0pt; font-family:Cambria; mso-ascii-font-family:Cambria; mso-ascii-theme-font:minor-latin; mso-hansi-font-family:Cambria; mso-hansi-theme-font:minor-latin;}