Ariel Henry dit avoir fait le dialogue, son cheval de bataille depuis son intronisation. Ce qui, selon lui, a permis « d’aboutir à un large consensus pour une gouvernance efficace et apaisée dont les retombées seront profitables pour les fils et filles de la nation ». « Je reste convaincu que cette voie du consensus nous conduira à bon port », assure Dr. Henry qui pense que « nous sommes dans l’’obligation de rééditer 1803 à cause des différents problèmes auxquels le pays est en proie ».


Pour honorer valablement la mémoire des héros de l’indépendance après « deux siècles perdus », le titulaire de la primature demande à la population de se mettre debout pour dire « non au kidnapping, non à ceux qui veulent instaurer un climat instable dans le pays ». « Debou pou timoun nou ka ale lekol, debou pou wout debloke, debou pou Ayiti kanpe », proclame-t-il.