Le secteur syndical réclame un salaire minimum à 500 gourdes pour les ouvriers des différentes entreprises du pays. Le salaire minimum est passé de 70 gourdes à 200 gourdes par jour selon la Loi Benoit ( 2009) pour toutes les caté Dernièrement certains syndicats comme le KODEVI étaient en grève réclamant non seulement l’ajustement de salaire mais aussi des mesures d’accompagnement social, des subvention a nieau transport Logements sociaux et surtout le droit de choisir son médecin, l’hˆøpital où il sera soigné et un emps conge de maladie en rapport avec la maladieLe gouvernement a nommé un conseil supérieur du Salaire qui fialement a pu entrer en fonction et qui, après de nombreuses tergiversatons a anoncé pour le 29 Novembre l’annonce du Salaire minimum. Les syndicates d’ouvriers ont décié de manifester quatre jours avant cette date , soit le 26 Novembre à travers le pays pour rapeler au Conseil supérieur du Salaire ses diverses revendications. Les ouvriers ont eaucoup isisté sur le fait que les 300 gourdes promis par certaies enterprises est un salaire minimum lié à la production. C’est à dre por ‘btenir il faut faire un nombre de pieces bien determinees par jour, ce qui est ipossible dans la plupart des cas, ce qui ne les rend pas qualifié pour ce salaire de 300 gourdes. Vue l’augmentation constante du coût de la vie, vu les mauvaises conditions actuelles du niveau de vie de nos ouvriers, ils réclament en plus d’une sensible amélioration de leur salaire minimum, une subvention au niveau du transport, des logements sociaux adéquats, des soins de santé autant d’améliorations qui feront se transformer la vie de ces citoyens qui jouent un grand rôle et contribuent à relever le niveau économique du pays . Yannick Etienne de Batay Ouvriye était l’Invitée d’Elsie à Mélodie matin ce Jeudi et elle a aussi attiré l’attention sur les conditions de travail dans nos usines textiles de la sous-traitance, où il reste encore beaucoup à faire.