L’ex-président américain, Bill Clinton arrive avec Louis Moreno, Président de la BID en Haïti. Ils seront à la tête d’une délégation d’une centaine d’entrepreneurs. La délégation séjournera pendant deux jours en Haïti: Premier et deux octobre 2009.
Les responsables de la Unibank ont procédé le vendredi 25 septembre 2009 à l’inauguration de leur 46 è succursale. Elle est localisée à Carrefour Fleuruau dans la commune de Tabarre. Au cours de la cérémonie, il y a eu le discours de Franck Helmcke, directeur général de la UNIBANK , de Carl Brown, président du conseil d’administration, et de Mme Géraldine Léonas qui est la directrice de cette nouvelle succursale. La Unibank a actuellement 800.000 clients. « C’est du jamais vu dans le secteur bancaire haïtien » s’est exclamé Helmcke. 500.000 dollars ont été investis pour cette succursale. « C’est la preuve que la Unibank ne s’arrêtera pas en chemin » a souligné Carl Brown. L’ouverture de cette succursale répond à la demande réitérée des habitants de la commune de Tabarre . C’est fait maintenant et un espace accueillant et impeccable est maintenant à la disposition des clients. Bravo Unibank !
Le ministère des TPTC, ne peut continuer avec les travaux de démolition et de construction de trottoirs dans l’aire métropolitaine. C’est vraiment un spectacle navrant que de voir ces demeures défoncées, privées de toute protection, parce que leur mur de clôture a été détruit et pourquoi faire ? Rien puisque les débris restent sur l’espace qui aurait du devenir un joli trottoir . tous les chantiers sont restés inachevés. Et l’espace trottoir sert à d’autres fin. On l’a transformé en parking, garage, quand ne n’est pas un marché,. Vous parlez de l’embellissement de la capitale ! C’est plutôt du contraire qu’il s’agit ! Le pourquoi de cette situation est que les TPTC n’ont pas d’argent pour poursuivre les travaux. Et quels travaux ! Ils auraient du durer trois mois et voilà que plus de 6 mois après la démolition des maisons à Lalue, rien n’a été fait. L’on sait que sur cette route de Lalue, les responsables du ministère des Travaux publics exigeaient 4.20 pour des travaux d’agrandissement qui visaient à faciliter la circulation au niveau des principales intersections de cette voie qui dessert plusieurs zones de la capitale. C’est pareil pour d’autres zones, Pacot ou Magloire Ambroise. Les habitants se sont pliés aux exigences et aujourd’hui, ils se demandent pourquoi. « C’est une question d’argent » expliquent les TPTC. « Faute de crédit budgétaire la construction des trottoirs dans l’aire métropolitaine n’avance pas. Selon le titulaire des TPTC, Jacques Gabriel le projet doit attendre le prochain budget pour trouver des fonds nécessaires pour son achèvement.
258 millions de dollars pour Haïti promet le Clinton Global Initiative. Une trentaine de projets doivent être financés dans différents domaines. Le Clinton Global Initiative dirigé par l’ancien Président américain et actuel envoyé spécial de l’ONU pour Haïti, Bill Clinton a annoncé vendredi une enveloppe de 258 millions de dollars pour la réalisation de de différents projets en Haïti. La Fondation, à l’occasion d’une conférence annuelle à New York, en marge de la 64ème assemblée générale ordinaire des Nations Unies a révélé 21 projets parmi lesquels la distribution pendant trois ans d’eau potable et d’installations sanitaires à 50.000 haïtiens issus des couches les plus défavorisées, selon un engagement financier de 2 millions de dollars de Water.org, une organisation du célèbre acteur américain Matt Damon. De leur côté, Habitat pour l’humanité et l’Agence américaine pour le développement international (USAID) ont promis 4.5 millions de dollars qui seront consacrés aux travaux de réparation de 1.500 habitations familiales aux Gonaïves et à Cabaret, deux villes ravagées par le passage de quatre ouragans et tempêtes tropicales. Un porte-parole de Bill Clinton a précisé qu’une partie de l’aide promise cette année a déjà été débloquée. Parmi les personnalités présentes à la réunion annuelle du Clinton Global Initiative à New York le vendredi 25 septembre se trouvaient le Président René Préval, la militante écologiste kényane et Prix Nobel de la paix 2004 Wangari Maathai et l’acteur américain Brad Pitt.
Le 29 septembre 2009, un groupe de représentants des affaires brésiliens se rendront au Cap Haitien et à Ouanaminthe pour une visite exploratoire sur les opportunités d’investissement.
Des rendez-vous prometteurs pour la relance économique.
UN POINT PRESSE EST PREVU LE 29 SEPTEMBRE A 2 :00 A L’HOTEL MONTJOLI.. MERCI DE CONFIRMER VOTRE PRESENCE Organisée par la Commission Hope avec le soutien de l’Association des Industries d’Haïti (ADIH) et de l’Ambassade du Brésil en Haïti, la visite d’une délégation brésilienne qui se déroulera du 26 septembre au 3 octobre 2009 est centrée sur l’industrie textile en premier lieu. Elle fait suite au voyage de représentants de la CTMO-Hope au Brésil en juillet dernier, afin de leur présenter les intéressantes opportunités de HOPE II. 12 professionnels du secteur textile La délégation comprendra notamment des représentants de l’Association Brésilienne des Industries du Textile et de l’Habillement (ABIT) –plus de 90,000 membres employant 2 millions de personnes– et de l’Association Brésilienne de Fibres Artificielles et Synthétiques (ABRAFAS), de la Coalition des Industries Brésiliennes (BIC) ainsi que plusieurs entrepreneurs du secteur, notamment pour les firmes, Canatiba, fabricant et marque de jeans depuis 40 ans, ainsi que Senai, Vincuha, Tavex, RossetValisère ou Paramount, pour ne citer qu’eux… Ils seront accompagnés du Consul Général d’Haïti à São Paulo ainsi que deux responsables de la Chambre de Commerce Brésilo-haitienne. Au total ce sont 12 personnes qui seront reçues en Haïti. Un programme de visite très riche Au programme de cette semaine de travail, des rencontres avec les professionnels du secteur, la présentation des projets de parcs industriels, mais aussi des aspects légaux, financiers et techniques liés à l’investissement en Haïti. Les invités visiteront le Par Industriel Métropolitain de Port-au-Prince de la SONAPI et les usines d’assemblage de la zone métropolitaine, avant de se rendre dans le Nord et particulièrement dans la zone industrielle de Ouanaminthe.